Denise Colomb in Martinique

In the aftermath of the second World war and 100 years after slavery was abolished, Aimé Césaire invited Denise Colomb to capture the reality of a worn out Island. Far from doudouism-the stereotype of an exotic paradise with a French accent, sweetened with romance and lassitude- Denise Colomb showed a realistic picture of the island. It included poverty and social gap, misery and sometimes laughs. Hope in eyes despite difficult everyday life. It included Woman especially, who kept the Martinican society on their hips and hearts. Colomb or Colombus as family name is not unknown in Martinique. Denise Loeb took it as pseudonyme during second world war in order to escape Gestapo. Le Jeu de Paume in Paris presented an exhibition dedicated to this work in 2009.
Below are pictures taken from the website Le jeu de Paume. The website also presents the article written in 1950 in the magazine « Regards »: « Martinique, from legend to reality ».

Au lendemain de la Seconde Guerre et 100 ans après l’abolition de l’esclavage, Aimé Césaire invita la photographe Denise Colomb à immortaliser en noir et blanc une Martinique encore exsangue. Il s’agissait de présenter l’image la plus réaliste possible de la Martinique, loin du Doudouisme et de l’image langoureuse des îles présentée dans les salons. De montrer l’implacable réalité, de montrer la pauvreté, les déséquilibres sociaux. La misère. Les rires. Les femmes qui avancent malgré tout. Les femmes surtout. Colomb, le nom de famille n’est pas inconnu aux Antilles. Denise Loeb l’a adopté durant la seconde guerre mondiale pour tromper la gestapo.
Le Jeu de Paume a présenté le travail de la photographe en 2009 ainsi que l’article publié dans Regards en 1950: « La Martinique, de la légende à la réalité ».
Toutes les photos sont disponibles sur le site du Jeu de Paume. J’en reprends quelques unes ici: